La Fabrique 2022
GROUND ZERO
Ukraine
BENIMANA
Rwanda
ELEPHANTS IN THE FOG
Nepal
ACAPULCO MAGIC
Mexique
ADIEU À SATAN
Mexique
STARFRUITS
Inde
AISHA NE S'ENVOLERA PLUS
Egypte
DJELIYA, MEMOIRE DU MANDINGUE
Burkina Faso
HAVEN OF HOPE
Pakistan
Contact© Farazeh SyedIF WOOD COULD CRY, IT WOULD CRY BLOOD
Vietnam
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ZHANNA OZIRNA
REALISATRICE
Zhanna Ozirna a participé aux Berlinale Talents 2020 et à Cinemart (IFFR) 2021. Son dernier court-métrage de fiction, The Adult, a été présenté dans le programme spécial "The State of a New Generation" au Festival International du Court-métrage de Winterthur. Le développement de son premier long-métrage Ground Zero a été soutenu par la Fondation Culturelle Ukrainienne, et par les ateliers de scénario ScriptTeast et Pustnik.
SYNOPSIS
Jusqu’où pouvons-nous aller pour nous souvenir de qui nous sommes ?
Marina vit à Paris et écrit sur les villes mono-industrielles soviétiques – les sites industriels créés pour les besoins d’une usine géante. Pour mener à terme ses recherches, elle retourne dans sa ville natale en Ukraine qui porte encore le souvenir du suicide de son père, mineur de fond, 18 ans plus tôt. Les découvertes qu’elle fera sur ses propres racines mettront en péril l’identité de toute la ville et menaceront la mémoire de la vie, comme de la mort, de son père. Marina devra faire face à un choix difficile : rétablir la mémoire collective, en tant que chercheuse, ou honorer le souvenir de son père, en tant que fille.
En savoir plusNOTE D'INTENTION
Je m’intéresse aux traumatismes post-coloniaux en Ukraine et à la façon dont on peut les aborder et les guérir. J’explore la nature de la mémoire et l’influence du passé soviétique qui pollue encore les esprits. Les habitants des villes mono-industrielles – le lieu principal de mon histoire – venaient des quatre coins de l’URSS pour bâtir un monde nouveau sur ce qu'ils croyaient être un “no-man’s land”. Ils n’avaient alors aucun passé derrière eux, aucune racine, aucune continuité historique. Et leurs petits-enfants ont hérité de ça. Je veux montrer comment une photo truquée peut remplacer la mémoire collective d’une ville entière. J’aborde ce concept philosophique à travers une enquête mais ce que mon héroïne recherche en réalité, c’est sa propre identité, effacée par la propagande.
DMYTRO SUKHANOV - Toy (Ukraine)
PRODUCTION
Créée en 2003 comme société de production de publicités, TOY a commencé à faire de la production de services de longs formats en Ukraine, en 2006. Par la suite, en 2015, la société s’est tournée vers la production de contenu national. Après quelques films documentaires, via des commandes de l'Etat, TOY (Toy Cinema) a reçu, en 2017, ses premiers financements afin de produire ses propres longs-métrages.
Aujourd’hui TOY est membre co-fondateur de l’Association de l’Industrie du Film d’Ukraine, du Production Service Network et un partenaire régulier de l’Agence d’État ukrainienne pour le cinéma. La société se consacre à la fois au soutien d’une nouvelle génération d’auteurs et cinéastes ukrainiens et à diffuser des co-productions internationales de qualité et de la production de service en Ukraine.
Dmytro est diplômé d'EAVE Producers Workshop depuis 2020.FICTION / DRAME / COULEUR / NUMERIQUE
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Dmytro Sukhanov - TOY (Ukraine)
Langue
Ukrainien, français
Lieu de tournage
Ukraine, France
Budget estimé
907 000 €
Financements en place
492 000 €
Recherche de partenaires
Co-producteurs, vendeurs internationaux, festivals
Statut actuel
Développement avancé, financement
Extrait
Extrait "The Adult"
Video pitch
CONTACT
REALISATRICE
Zhanna Ozirna / ozzhanna@gmail.com / +380 93 510 6483 / +33 (0)7 84 33 13 01 (portable Cannes)
PRODUCTEUR
Dmytro Sukhanov / sukhanov@toycinema.com.ua / +380 50 469 7216 (portable) / + 33 (0)7 84 33 12 00 (portable Cannes/ https://toypictures.com.ua
PRODUCTRICE ET COPRODUCTEUR
Productrice : Iryna Kovalchuk - Radar Films (Ukraine) / info@radarfilms.pro
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MARIE-CLEMENTINE DUSABEJAMBO
REALISATRICE
Marie-Clémentine est une réalisatrice et productrice rwandaise. Ses courts métrages ont été montrés et primés dans plusieurs festivals, notamment au festival de Carthage où elle a remporté le Tanit de Bronze en 2012 et 2018. Elle travaille sur son 1er long métrage de fiction BENIMANA, avec lequel elle a participé aux ateliers et résidences suivants: Sud Ecriture, Ouaga Film Lab, Le Groupe Ouest/ LIM 2020 et Medienboard/Berlin Artist -In-Residency.
SYNOPSIS
BENIMANA est une histoire de friction entre l'existence collective et individuelle. Alors qu’elle pensait son passé derrière elle, Veneranda, survivante du Génocide des Tutsi, oeuvrant pour la réconciliation, voit ses vieux démons ressurgir quand elle apprend la grossesse de sa fille, Tina, sous l’œil muet de la grand-mère qui sent l’équilibre familial vaciller.
Rwanda 2012. Le pays sort d'une ère de silence après le génocide des Tutsi de 1994, des tribunaux populaires sont mis en place avec pour objectif d’apporter justice et réconciliation. Veneranda, survivante, est convaincue de la nécessité de ces procès. Malgré les pressions, elle organise des séances de discussion entre victimes et familles de bourreaux. Thérapie pour certaines, acte de trahison pour d’autres, ces séances de témoignages ravivent et révèlent les traumatismes que chacun tente de surmonter à sa manière. Les plaies du passé de Veneranda se rouvrent lorsqu'elle apprend la grossesse inattendue de sa fille et l'identité du géniteur. Veneranda doit alors faire face à ses propres contradictions et aux parts sombres de son passé.
NOTE D'INTENTION
BENIMANA parle de traumatisme intergénérationnel et de la nécessité de déconstruire les préjugés et les ressentiments. Les personnages du film, principalement féminins, traversent successivement des moments de bonheur, de chaos, de noirceur dans lesquels s’entremêlent l’amour et la haine, la rancœur et la réconciliation. Elles dressent ainsi le portrait de mon pays, le Rwanda, dans son effort de se reconstruire après le Génocide des Tutsi de 1994.
MARIE-CLEMENTINE DUSABEJAMBO - Ejo Cine (Rwanda)
PRODUCTION
Ejo-Cine Ltd est une société de production basée à Kigali, créée en 2018. Elle met l'accent sur des récits innovants et sensibles de l’expérience humaine, les communautés, la culture, destinés au cinéma et à la télévision.
FICTION / DRAME / COULEUR / NUMERIQUE HD
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Marie-Clémentine Dusabejambo, Ejo Cine (Rwanda)
Langue
Kinyarwanda
Lieu de tournage
Rwanda
Budget estimé
657 000 €
Financements en place
110 000 €
Recherche de partenaires
Coproducteurs (France, Norvège, autres), distributeurs, vendeurs internationaux, fonds internationaux
Statut actuel
Développement avancé
Extrait
A place for myself"
CONTACT
REALISATRICE - PRODUCTRICE
Marie-Clémentine Dusabejambo / dclemy@gmail.com / +250788520976/ + 33 (0) 7 84 33 12 40 (portable Cannes)
PRODUCTRICE ET COPRODUCTEUR
Productrice co-déléguée: Samantha Biffot (On est ensemble Production - Côte d’Ivoire)
Coproducteur: Yoro Mbaye (Yennenga Production – Sénégal) -
ABINASH BIKRAM SHAH
REALISATEUR
Abinash est un scénariste et réalisateur lauréat du National Award, basé au Népal. Ancien élève de la Locarno Filmmakers Academy, de Berlinale Talents et de la Asian Film Academy, il a écrit, réalisé et produit des courts-métrages ayant remporté beaucoup de prix à des festivals internationaux. Il a également écrit des longs-métrages projetés en avant-première à Berlin et à Venise, et qui ont été sélectionnés pour représenter le Népal aux Oscars dans la catégorie du meilleur film étranger.
SYNOPSIS
Quand une jeune femme trans de la campagne népalaise disparaît alors qu'elle surveillait des éléphants sauvages, la faute est rejetée sur la leader de la communauté trans, qui doit la retrouver avant leur rituel annuel.
PIRATI est la matriarche d’un groupe de cinq femmes trans vivant dans un village terrorisé par des éléphants sauvages. Elles joignent les deux bouts en donnant des performances lors d'événements et en demandant l’aumône. Un soir, la plus jeune membre du groupe, APSARA, disparaît en surveillant les éléphants sauvages. La faute de sa disparition est rejetée sur PIRATI, accusée de négligence. Alors, pour retrouver APSARA, PIRATI doit se battre contre les villageois, qui ne se préoccupent pas d’elle ; contre la police, qui a mieux à faire que retrouver un femme trans ; contre la famille d’APSARA, qui la considère comme morte depuis son "coming out" et contre la forêt sombre et profonde, plus dangereuse encore que les éléphants sauvages.
En savoir plusNOTE D'INTENTION
Dans notre société où les idéologies conservatrices peuvent parfois prendre le pas sur notre humanité et notre empathie, les personnes désirant ce que la société leur interdit, sont souvent marginalisées. Aux yeux de tous, ils sont en échec et sont mis au ban de la société.
En savoir plus
Le film, centré sur un groupe ostracisé de cinq femmes trans qui ne remplissent pas les conditions de masculinité déterminées par notre société patriarcale, ne traite pas seulement de leur disparition, mais questionne également la responsabilité de la société dans leur disparition. Combien de temps ont-elles été absentes, avant d’être déclarées disparues ?
En parallèle, j’aimerais analyser les raisons qui poussent une personne marginalisée à tout faire pour s’intégrer et être acceptée dans une société qui les a rejetées, après s’être battue contre le monde entier pour vivre sa vérité.ANUP POUDEL - Underground Talkies Nepal (Népal)
PRODUCTION
Underground Talkies Nepal, créée en 2013, est une société de production indépendante basée à Katmandou. Nous nous associons à une nouvelle génération de cinéastes voulant raconter des histoires locales audacieuses, originales et authentiques. Nos films résonnent avec un public local et international, et ont été projetés aux festivals de Venise, Busan, Winterthur, Locarno ou au festival du Nouveau Cinéma de Montréal, pour n’en nommer que quelques-uns.
FICTION / THRILLER / COULEUR / NUMERIQUE 4K
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Anup Poudel - Underground Talkies Nepal (Népal)
Langue
Népalais
Lieu de tournage
Chitwan, Népal
Budget estimé
420 000 €
Financements en place
65 000 €
Recherche de partenaires
Vendeurs internationaux, financiers, co-producteurs (français, allemands, néerlandais, norvégiens)
Statut actuel
Développement avancé. 4ème version du scénario.
Extraits
Tattini (2018) -The Glorious face (2022)
CONTACT
REALISATEUR
Abinash Bikram Shah / write.abshah@gmail.com / +977-9841-855359 / + 33(0) 7 84 33 12 72
PRODUCTEUR
Anup Poudel / anoopmimosa@gmail.com / +977-11-412001 / +977-9851-328838 (portable)
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TAVO RUIZ
REALISATEUR
Tavo Ruiz est un scénariste et réalisateur queer né à Nezahualcoyotl, au Mexique. Ses courts-métrages ont été projetés à des festivals tels que le Morelia Film Festival, OutFest L.A., ou encore le Max Ophüls Filmpreis. Ce projet a gagné le fonds de développement de l’Institut mexicain de Cinématographie (IMCINE) et a participé au Gabriel Figueroa Film Fund au Festival du film de Los Cabos.
SYNOPSIS
Acapulco Magic raconte les difficultés d’un adolescent mexicain, d'une personne prisonnière d’un endroit qui semble magique mais ne l’est pas ; c’est également une histoire sur la beauté de l’amitié, de l’amour et du sacrifice.
Ángel est un adolescent travaillant comme prostitué sur les plages touristiques d’Acapulco. Après avoir rencontré Carlos, un militaire, il découvre des émotions et des sentiments qu’il n’avait jamais connu. Cela le motive à fuir les gens responsables de sa situation, dont sa propre mère. Mais son entourage va l’en empêcher, le plongeant plus profondément encore dans le terrible piège de la prostitution infantile.
NOTE D'INTENTION
Ce film de fiction a été créé à partir de différentes anecdotes de gens vivant cette dure réalité. Il parle d’un sujet dont peu de gens veulent parler dans les médias, mais qui est bien connu comme étant un des problèmes les plus graves dans mon pays, la prostitution des mineurs. C’est un problème latent qui dérange, un sujet tabou compliqué dans notre société. C’est pourquoi je souhaite amener le spectateur vers un Acapulco que beaucoup ne veulent pas voir, mettant en lumière de manière crue la perte de l’innocence.
Je m’identifie à ce sujet car j’ai grandi dans les bidonvilles de Mexico City, et les difficultés que j’ai eues à surmonter sont en partie similaires à celles de mes personnages. Je tiens absolument à raconter cette histoire, à cause de ce que représentent les violences sexuelles pour ma mère et moi. Et une partie du combat se fait à travers mon art.RODRIGO ALVAREZ FLORES, Luz Azul (Mexique)
PRODUCTION
Rodrigo Alvarez a créé Cine Al Norte, une société de production et post-production dédiée, à l’origine, à financer ses propres projets. Après avoir produit de nombreux courts-métrages, il s’aventure en 2019 dans le long-métrage avec Niña Sola (Girl Alone, ie. Fille seule), un documentaire consacré aux femmes et à la violence qu’elles subissent au Mexique. Le film a été projeté à l'IDFA (Internacional Documentary Film Festival Amsterdam) et est sorti au cinéma en 2022.
En 2021, il a écrit, réalisé et co-produit son premier long-métrage intitulé Soy lo que nunca fui (Broken Borders), et a créé avec Sarahí Castro et Miguel Urías une société de production, Luz Azul, dédiée à la production de premiers longs-métrages. Leurs prochains projets incluent #Rats réalisé par Carlos Trujano, actuellement en post-production, Valentina y la serenidad (Valentine et la sérénité) de l’actrice et réalisatrice reconnue Ángeles Cruz, et Acapulco Magic de Tavo Ruíz, les deux derniers projets étant en développement.FICTION / DRAME / COULEUR / NUMERIQUE HD
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Rodrigo Alvarez Flores - Luz Azul (Mexique)
Langue
Espagnol
Lieu de tournage
Acapulco, Mexique
Budget estimé
589 000 €
Financements en place
82 000€
Recherche de partenaires
Financements internationaux, co-producteurs européens (Allemagne, France, Pays-Bas)
Statut actuel
En développement, 4ème version
Videopitch
Extraits
"Portraits of my mother" (2019) -"Line 9" (2016)-Juan Gabriel is dead" (2018)
CONTACT
REALISATEUR
Tavo Ruiz / tavruiz@gmail.com / +49 157 3280 1287/ +33(0) 7 84 33 28 89 (portable Cannes)
PRODUCTEUR
Rodrigo Alvarez Flores / ro.alvarezflores@gmail.com / +52 664 681 2751 / +52 664 306 55 44 (portable) / + 33 7 84 33 29 00 portable Cannes / Site web en construction
COPRODUCTEURS
Miguel Urias & Sarahí Castro ( Luz Azul – Mexique)
Luisa Gomez de Silva (G8 Entertainment – Mexique)
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JOSÉ PABLO ESCAMILLA
REALISATEUR
José Pablo Escamilla est réalisateur, scénariste et monteur, membre co-fondateur du Colectivo Colmena. Il est connu pour ses courts-métrages Phantom Pain et Firefly (67e Berlinale). Monteur pour Beach de Francisco Borrajo (68e Berlinale) et Sol de Llano de Manuela Irene (Clermont-Ferrand). MOSTRO, son premier long-métrage, a été projeté en avant-première mondiale au 74e festival de Locarno, remportant le Boccalino d’Oro décerné par les critiques indépendants.
SYNOPSIS
Un adolescent bourgeois découvre que son père a une deuxième famille. Il part sur les traces d’un garçon rebelle, qui se trouve être son frère. Ils décident de s'échapper ensemble, mais leurs environnements respectifs ont déjà écrit leurs chemins de vie.
Un adolescent bourgeois découvre que son père a une maîtresse en banlieue de la ville. Ses recherches débouchent sur la découverte d'un ouvrier rebelle qui se trouve être son frère caché. Sa rage et son obsession envers ce dernier se transformera en amitié, alors qu’ils développent une relation singulière. Ils décident de s'échapper ensemble mais leurs environnements respectifs ont déjà écrit leurs chemins.
En savoir plusNOTE D'INTENTION
Godspeed Satan est une histoire d’amour fraternel, un thriller rempli de moments intenses d’intimité, guidé par la recherche intérieure ambiguë et profonde du personnage principal. Sans le savoir, il est à la recherche d’une vérité plus profonde, d’un sens que sa vie actuelle ne semble pas avoir. Le film met en scène cette dualité, et parle de la rencontre de soi à travers les autres.
Petit à petit, j’ai réalisé que le thème principal est la masculinité toxique, ses échos et ses conséquences sur l’hétéro-patriarcat. La résolution de l’histoire traite du thème de la disparition forcée, un enjeu que je trouve extrêmement important au Mexique.
C’est un récit d’apprentissage destiné aux centennials (Génération Z), qui cherchent encore leurs idéaux et leurs préférences.
En savoir plusDIANDRA ARRIAGA - Colectivo Colmena (Mexique)
PRODUCTION
Colectivo Colmena est un collectif de cinéma mexicain crée en 2015 par un groupe de cinéastes indépendants qui travaillent ensemble depuis dix ans. Poussés par notre besoin de raconter des histoires, nous explorons et expérimentons des formes collaboratives de financement, de production et de distribution de films, utilisant nos propres ressources financières et créatives avec le soutien d’un réseau de collaborateurs de confiance créé au fil des ans.
Notre principal objectif est de provoquer des discussions sur les situations qui affectent actuellement la société mexicaine.
Nos films ont été présentés à des festivals tels que la Berlinale, Mar del Plata, Locarno, Toulouse, Biarritz, Gijón, La Havane, FICMorelia, FICGuadalajara, NYFF et Los Cabos, entre autres.FICTION / COMING OF AGE/ COULEUR / NUMERIQUE 4K- 16 mm
DEUXIEME LONG-METRAGE
Produit par
Diandra Arriaga - Colectivo Colmena (Mexique)
Langue
Espagnol
Lieu de tournage
État de Mexico, Mexique
Budget estimé
725 900€
Financements en place
150 000€
Recherche de partenaires
Coproducteurs, distributeurs, vendeurs internationaux
Statut actuel
Financement
Vidéopitch
CONTACT
REALISATEUR
José Pablo Escamilla / jp@colmena.tv / +52 1 553 4885299
PRODUCTRICE
Diandra Arriaga / diandra@colmena.tv / +52 1 55 45 053578
COPRODUCTEURS
Daniel Loustaunau / Colectivo Colmena (Mexique)
David Hurst / Dublin Films (France) -
GOURAB KUMAR MULLICK
REALISATEUR
D’abord formé aux arts visuels avant de se consacrer au cinéma, Gourab Kumar Mullick utilise différents médiums artistiques pour construire des narrations engagées. Il explore au cinéma les politiques de genre, la sexualité et les études du corps. Il a monté et co-réalisé Kalsubai (Grand Prix du Festival International du court métrage d’Oberhausen), tandis que son film Whom the Owls Knew est actuellement en post-production.
SYNOPSIS
Salim et Vishnu sont amants, et se séparent lorsque Vishnu part pour Dubai. Dans l’Inde des années 90, le film raconte une histoire d’amour et une quête de soi alors que plane la menace des attentats de Bombay.
Sur la côte ouest de l’Inde, Salim, gangster à ses heures perdues, a le cœur brisé lorsque Vishnu, son amant, quitte le village pour trouver un travail. Des années plus tard, il revient avec Dhanvi, que les gens prennent pour sa femme. Quand Vishnu quitte à nouveau le village, cette fois pour Dubai, Salim cherche un moyen de séduire Dhanvi, à titre de revanche pour un amour perdu.
Situé dans le Bombay mouvementé des années 90, Starfruits explore le conflit entre masculinité et homosexualité dans une société où les valeurs collectives et la réalité se confrontent pour construire et déconstruire l’être social.
En savoir plusNOTE D'INTENTION
Starfruits est une réflexion sur un pays en décadence ; un pays où l’amour doit être le résultat d’un contrat social entre un homme et une femme. Certains dilemmes et certaines luttes exposées dans le film sont inspirés de ma propre expérience. Je voulais explorer l’idée de couple dans le contexte changeant de l’Inde. Je crois que la sexualité est d’abord une affaire de choix, un choix que l’on retire aux individus. Le film ne s’intéresse pas seulement aux deux hommes, Salim et Vishnu, de deux religions différentes, mais met aussi en lumière la répression politique et sexuelle des femmes à cette époque.
Loin de l’archétype du gangster luttant contre le système, je veux explorer à travers Salim la figure du gangster qui lutte contre l’hyper-masculinité qu’on lui impose. Starfruits reste une histoire universelle autour de l’amitié, l’amour, la tromperie et la revanche. C’est l’histoire des forces qui conduisent nos vies, envahies par des forces plus grandes encore qui interrogent nos choix.
En savoir plusUMESH VINAYAK KULKARNI - Arbhaat Films (Inde)
PRODUCTION
Umesh Vinayak Kulkarni a crée Arbhaat Films avec Girish Kulkarni, une société de production dédiée aux histoires singulières et à la promotion de jeunes talents. Depuis ses débuts, Arbhaat Films a produit des œuvres phares du cinéma Marathi, appréciées à la fois par la critique et le public. Les films produits par Arbhaat ont été projetés dans de grands festivals internationaux tels que Berlin, Rotterdam, Busan, Karlovy Vary et ont gagné plusieurs National Film Awards.
FICTION / DRAME / COULEUR / NUMERIQUE
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Umesh Vinayak Kulkarni - Arbhaat Films (Inde)
Langue
Hindi
Lieu de tournage
Inde
Budget estimé
490 000 €
Financements en place
180 000 €
Recherche de partenaires
Co-producteurs européens, fonds internationaux, vendeurs internationaux
Statut actuel
En développement, 3ème version du scénario, casting, repérages
CONTACT
REALISATEUR
Gourab Kumar Mullick / gourabmullick@gmail.com / +91 7278 589549 (portable)/ portable Cannes +33( 0)7 84 33 08 10
PRODUCTEUR
Umesh Vinayak Kulkarni / aantarik@yahoo.com / + 919 4223 22754 (portable) / + 33 (0)7 84 33 13 92 (portable Cannes)
COPRODUCTEUR
Samir Sarkar / Magic Hour Films (Inde)
Extrait
"Whom the Owls Knew"
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MORAD MOSTAFA
Morad Mostafa est un cinéaste égyptien né au Caire. Il a travaillé dans plusieurs projets de films indépendants, et a collaboré en tant que directeur exécutif du long-métrage Souad d’Ayten Amin – sélection officielle du Festival de Cannes 2020 et de la Berlinale, section Panorama. Il a écrit et réalisé trois courts-métrages, tous les trois sélectionnés à Clermont-Ferrand trois années consécutives et a gagné plus de 35 prix internationaux.
SYNOPSIS
Aisha, aide-soignante auprès de personnes âgées, vit dans un quartier du Caire où elle découvre la société africaine souterraine, chargée de tensions entre différents groupes. Coincée dans une relation sans avenir; la routine, la pression et la pénibilité de son travail la conduisent dans une impasse.
Aisha est une jeune femme somalienne de 26 ans qui travaille comme aide-soignante auprès de personnes âgées, à Ain-Shams, un quartier au cœur du Caire. Elle y découvre la société souterraine d’immigrés africains et les tensions qu’entretiennent les différents groupes. En plus de la routine et de la pression associées à son travail, et d’une relation sans avenir avec un cuisinier égyptien, Aisha se retrouve impliquée dans le gang qui contrôle son quartier, qui la fait chanter et l’oblige à voler les clés de ses patients. Elle voit ses rêves et ses pires cauchemars s’entrecroiser à sa réalité ce qui la conduit dans une impasse.
NOTE D'INTENTION
L’histoire que je raconte se passe dans le quartier de mon enfance et de mon adolescence. Quand j’y suis retourné des années plus tard, une communauté africaine s’était constituée au cœur du Caire. Ils venaient des quatre coins du continent à la recherche de travail, de paix, du droit d’asile, fuyant la guerre et la famine. Ils formaient un monde à part, avec leurs propres règles. Certains travaillaient dur dans des jobs sous-payés, mais d’autres se rebellèrent contre leur inévitable destin et devinrent hors-la-loi. Dans les deux camps, survivre chaque jour pour soi et sa famille était considéré comme héroïque.
Alors que j’étais à bord d’un minibus là-bas, une jeune Africaine aux traits fatiguées s’assit près de moi et s’endormit. Elle se réveilla en sursaut, apeurée et commença à pleurer de panique. Je me suis longtemps demandé d’où venait cette jeune fille, quelle était son histoire. Puis, le personnage d’Aisha commença à répondre à mes questions : une jeune femme seule, prisonnière entre deux mécanismes de survie, et devant faire face aux pressions sociales de la société égyptienne, entourée de gens qui lui ressemblent mais qui sont malgré tout différents. Tout cela n’est pas suffisant pour qu’elle se sente intégrée, mais bien suffisant pour qu’elle se sente aliénée; comme l’autruche, un oiseau qui ne peut pas vivre avec les autres oiseaux, et qui ne peut pas voler à plus d’un mètre de la surface de la Terre.
C’est cela que je souhaite montrer dans mon film, en suivant la vie d’Aisha et en saisissant l’effervescence derrière un calme apparent jusqu’au désespoir et à l’explosion.
En savoir plusSAWSAN YUSUF - Bonanza Films (Egypte)
PRODUCTION
Bonanza Films est une société de production basée au Caire et établie en 2019. Son but est d’aider à développer l’industrie du cinéma en co-produisant ou produisant des premiers et seconds courts et longs-métrages de réalisateurs, en collaboration avec des sociétés de production et de distribution internationales partageant le même enthousiasme pour le cinéma. Elle a produit deux courts, Henet Ward et Khadiga, qui ont tous les deux été sélectionnés en compétition internationale à Clermont-Ferrand et ont gagné plus de 35 prix internationaux. Aisha ne s’envolera plus a été sélectionné au Rotterdam Lab IFFR et a reçu une bourse de soutien au développement du Festival du Film d’El Gouna et de Cinemed.
FICTION / DRAME / COULEUR / NUMERIQUE
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Sawsan Yusuf - Bonanza Films (Egypte)
Langue
Arabe
Lieu de tournage
Egypte, Le Caire
Budget estimé
402 000 €
Financements en place
110 000 €
Recherche de partenaires
Co-producteurs (France, Allemagne et Pays-Bas), fonds internationaux, vendeurs internationaux
Statut actuel
En développement – 3ème version de scénario
Vidéo pitch
Extrait "Henet Ward"
CONTACT
REALISATEUR
Morad Mostafa / Moradmostafafilm@gmail.com / + 20 114 997 3779 / +33 7 84 33 08 22 (portable Cannes)
PRODUCTRICE
Sawsan Yusuf / Sawsan.yusuf@gmail.com / +20 1279 877 803 / + 33 7 84 33 08 46 (portable Cannes)
COPRODUCTEUR
Mohamed Hefzy - Film Clinic (Egypte)
Vidéopitch
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BOUBACAR SANGARÉ
REALISATEUR
Une révolution africaine, les dix jours qui ont fait chuter Blaise Compaoré, le premier documentaire coréalisé par Boubacar Sangaré a fait plus de 10 000 entrées en salles au Burkina Faso et plus d’une quarantaine de sélection et de projections à travers le monde. Or de vie, le premier long métrage qu’il réalisera seul vient d’obtenir l’Aide aux cinémas du monde et sera bientôt en postproduction. Djéliya, mémoire du mandingue s’inscrit dans la même démarche cinématographique que ce dernier avec une narration poétique qui célèbre l’Afrique et sa jeunesse.
SYNOPSIS
Sékou, jeune griot, gardien de la mémoire, entame un road-movie initiatique sur les routes du légendaire empire mandingue, dans une Afrique de l’Ouest bouleversée par la modernité, à la recherche de sa mémoire commune.
Sékou Timité a une ambition : suivre la voie de son père disparu pour devenir un "Djeli", un griot, gardien de la mémoire orale en Afrique de l'Ouest. Seul de la fratrie à s'intéresser à l'art en désuétude du griot, il laisse sa famille derrière lui et part se confronter au monde moderne sur les routes du légendaire Empire mandingue. Malgré ses doutes et les nombreux obstacles d’un présent parfois chaotique, il croise sur son chemin les plus grands griots de la région ou de simples individus en prise avec le quotidien. Son voyage initiatique devient le portrait poétique d'une Afrique de l'Ouest bouleversée à la recherche de sa mémoire commune.
NOTE D'INTENTION
Sékou Timité vient d'une ancienne famille de la caste des "Djeli", gardiens de la mémoire et des coutumes dans l'ancien Empire mandingue qui couvrait au XIIIe siècle, les territoires actuels du Mali, Sénégal, Gambie, Guinée, Burkina Faso, Côte d'Ivoire…Dans ce monde globalisé ravagé par la colonisation et ses subsides et en prise avec de perpétuels conflits ethniques, les conteurs d'histoires et leur rôle unificateur sont délaissés. Sékou, seul de sa famille à vouloir reprendre le flambeau de sa mère et de son défunt père, voudrait retrouver l'essence du griot pour l'adapter à notre monde. Il traverse les pays pour suivre la voie du griot et se rapprocher spirituellement de ce père inconnu. Le film prend l'aspect d'un road-movie initiatique éminemment poétique dans l’Afrique de l’Ouest, porté par la parole toujours très imaginative des griots. Ce film intime sur Sékou ouvre la possibilité d'un portrait subtil et poétique sur la mémoire commune et la vie en Afrique de l'Ouest du point de vue de ces conteurs.
En savoir plusMAMOUNATA NIKIEMA - Pilumpiku Production (Burkina Faso)
PRODUCTION
Pilumpiku Production couvre les champs de la production de films documentaires d’auteurs et de fictions, l'organisation de stages de formation à l'écriture et à la production.
Pilumpiku Production a été créée pour répondre à un besoin d'accompagnement des projets cinéma et audiovisuels des auteurs-réalisateurs burkinabè et africains. Elle compte à son actif plusieurs films documentaires, séries documentaires et de fictions, en coproduction pour la plupart avec des structures de production d'autres pays.DOCUMENTAIRE / COULEUR / NUMÉRIQUE
DEUXIEME LONG-METRAGE
Produit par
Mamounata Nikiema - Pilumpiku Production
Langue
Malinke, Bambara, Dioula
Lieu de tournage
Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée Bissau, Guinée Conakry, Mali, Sénégal
Budget estimé
610 000 €
Financements en place
69 000 €
Recherche de partenaires
Coproducteurs (France, Italie, Canada, Belgique, Allemagne) , Distributeurs, vendeurs internationaux, diffuseurs, fonds internationaux, régionaux et nationaux
Statut actuel
Développement avancé, financement
Vidéopitch
CONTACT
REALISATEUR
Boubacar Sangaré / elsaidfils6@yahoo.fr / + 33 7 55 82 96 78
PRODUCTRICE
Mamounata Nikiéma / pilumpikuproduction@gmail.com / + 226 78701232 / + 33 7 84 33 13 44 (portable Cannes) https://www.facebook.com/pilumpikuproduction
COPRODUCTEUR
Souleymane Kébé / Sunuy Films (Sénégal)
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SEEMAB GUL
REALISATRICE
Seemab est une artiste et cinéaste pakistanaise qui s’intéresse au réalisme social. Son documentaire Zahida a remporté le Prix du Public au Tasveer SAFF et a été diffusé sur Al Jazeera. Ses films ont été projetés à Venise, Sundance, Seattle, Uppsala, DokLeipzig et beaucoup d’autres festivals internationaux. Elle a participé au Locarno Open Doors Producers Lab, le Biennale College Cinema et Berlinale Talents. Seemab est diplômée de la London Film School.
SYNOPSIS
Trois détenues d’un asile pakistanais s’aventurent à l’extérieur le temps d’une journée.
Trois détenues dans un asile pakistanais pour femmes s’aventurent à l’extérieur le temps d’une journée. Elles découvrent que leurs familles préfèrent les déclarer folles plutôt que de les laisser jouir de leurs droits, ne leur laissant d’autres choix que de retourner à l’asile pour se protéger d’une société de laquelle elles ont été une nouvelle fois mises au ban.
NOTE D'INTENTION
J’ai produit il y a quelques années un documentaire sur la Foundation Edhi, qui possède plusieurs maisons d’accueil pour les femmes, les déséquilibrés et les sans abri au Pakistan. J’ai rencontré dans ces maisons beaucoup de femmes brisées, rejetées mais résiliantes. Panah Khana, qui veut dire “maison d’accueil” (ie. ‘safe house’), est fait d’histoires de ces femmes, est inspiré de leur courage et de leur force. Haven of Hope s’intéresse donc aux thèmes de la santé mentale et des droits des femmes. Ce film évoque la détresse des femmes dans les sociétés patriarcales, tout en racontant des histoires brutes mais encourageantes.
En savoir plusABID AZIZ MERCHANT - Sanat Initiative (Pakistan)
PRODUCTION
Abid Aziz Merchant est un producteur de cinéma pakistanais basé à Karachi, au Pakistan. Après plus de 20 ans passés dans la banque, il fonde Sanat Initiative en 2013, jouant ainsi un rôle prépondérant dans la découverte et le développement d’artistes visuels émergents au Pakistan.
À travers Sanat Initiative, Abid a découvert la production de film avec son premier long-métrage, I’ll Meet You There (Grand Prix du Jury de SXSW 2020). Son deuxième long-métrage, Wakhri (en développement) a été sélectionné à Open Doors au Festival du Film de Locarno (2018) et à L’Atelier de la Cinéfondation au Festival de Cannes (2019). Abid a également produit plusieurs courts-métrages dont 1978 (Festival du Film de Locarno 2020, Pardi di domani), The End (UKAFF 2021, Ray of Hope) et Mulaqat (Sandstorm) (Festival du Film de Venise 2021, Orizzonti, Festival de Sundance 2022).
Abid participe à la renaissance de l’industrie cinématographique pakistanaise et souhaite produire des histoires originales qui ont du sens, pour un public à la recherche de contenu engageant.FICTION / DRAME / COULEUR / NUMERIQUE
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Abid Aziz Merchant - Sanat Initiative (Pakistan)
Langue
Urdu
Lieu de tournage
Karachi, Pakistan
Budget estimé
300 000 €
Financements en place
60 000 €
Recherche de partenaires
Coproducteurs, vendeurs internationaux, distributeurs.
Statut actuel
En développement
Vidéopitch
Extrait
Sandstorm (2021)
CONTACT
REALISATRICE
Seemab Gul / seemabgulfilms@hotmail.com / +44 7951 697222 / +33 (0) 7 84 33 13 01 (portable Cannes)
PRODUCTEUR
Abid Aziz Merchant / abidazizmerchant@gmail.com / + 92 300 8208108 (cell)/ + 33 (0)7 84 33 13 68 (portable Cannes)
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LINH DAN NGUYEN PHAN
REALISATRICE
Dan est la première femme vietnamienne à devenir la directrice de la photographie d'un long-métrage vietnamien, avec Secrets of the Wind (ie. Secrets du Vent), sorti au cinéma en 2020. Elle a gagné le Prix de la Meilleure Photographie aux Asian Academy Creative Awards. If Wood could cry, it would cry blood sera son premier long-métrage en tant que réalisatrice. Le projet a reçu le ArteKino Award au Asian Project Market de Busan en 2021 et faisait partie de la sélection officielle du SGIFF – SEA Film Lab.
SYNOPSIS
En plein coeur de la guerre de décolonisation au Vietnam, un garçon de 14 ans aide à faire tourner le cirque itinérant familial en jouant dans un dangereux numéro de lancer de couteaux avec ses frères et sœurs.
Le film met en scène un cirque familial itinérant : Ba, un garçon de 14 ans, tient une planche en bois pour son grand frère, Hai, qui y lance des couteaux tandis que leur petite sœur, Tu, fait office de cible. Malgré le talent du frère et l’intrépidité de la petite sœur, tous les éléments sont réunis pour qu’une tragédie survienne. Le film dévoile le monde intérieur de Ba, alors qu’il essaie de sauver sa sœur du destin tragique qui l’attend et qu’il a vu en rêves. Il est confronté aux difficultés financières de la famille et aux pressions politiques d’un pays en guerre.
NOTE D'INTENTION
Tourné dans le delta du Mékong, If Wood Could Cry, It Would Cry Blood raconte la vie d'enfants qui vivent comme des poissons hors de l’eau, constamment obligés de retenir leur souffle. Le film essaie d'être une métaphore du sens de la vie et de l’identité individuelle, explorant la structure sociale à travers un drame familial. Ba, isolé bien que jamais seul, ne trouve pas sa place en tant que fils dépourvu de talent, au sein d’une famille d'artistes, dans un monde régi par l’argent. Le film questionne notre place en tant qu’individus dans notre propre famille, notre société mais aussi en tant qu’êtres humains dans le monde. J'aimerais que le film suscite des émotions, provoque la pitié et la peur, soit une expérience cathartique.
En savoir plusBich Hanh Ngo - BHD. Co (Vietnam)
PRODUCTION
BHD est la première société de média privée au Vietnam depuis 1996 et a commencé la production cinématographique avec Song of the Stork qui gagna le prix du meilleur film à Milan. BHD a produit The Floating Lives, le premier film indépendant à être en tête du box office en 2010. BHD a également distribué nombre de films vietnamiens en festival, tels que Choi Voi (Venise), Bi, don't be afraid (Semaine de la Critique à Cannes) et The White Silk Dress (Busan, Kodak Vision Award à Fukuoka, Meilleur film étranger au Golden Rooster).
FICTION / DRAME FAMILIAL / COULEUR / NUMERIQUE
PREMIER LONG-METRAGE
Produit par
Bich Hanh Ngo - BHD (Vietnam)
Langue
Vietnamien
Lieu de tournage
Vietnam
Budget estimé
872 000 €
Financements en place
294 000 €
Recherche de partenaires
Co-production, pré-ventes, financements
Statut actuel
En développement (3e version du scénario), financement
Vidéopitch
CONTACT
REALISATRICE
Linh Dan Nguyen Phan / nphan.linhdan@gmail.com / +84 967528372 (portable)/ + 33 7 84 33 11 26 (portable Cannes)
PRODUCTRICE
Bich Hanh Ngo / bichhanh.ngo@bhdvn.com / +84 28 3945 3356 / +84 903406275 (portable) / https://www.bhd.com.vn/