• MATTHYS BOSHOFF

    REALISATEUR

    Le court-métrage de Matthys Boshoff, Flesh of my flesh, a été présenté en compétition à Clermont Ferrand et a été sélectionné dans plus de 30 festivals où il a remporté de nombreux prix. Il a coécrit son premier long-métrage de fiction, Rachel de Beer, qui a connu un succès en salle et a remporté 3 SAFTAS, 4 SSF, le prix du meilleur film au Kids Eye et a été distribué en Amérique latine, en Amérique du Nord et en Europe (HBO).

    SYNOPSIS

    Suite à un accident de voiture qui a rendu sa femme tétraplégique, Magnus, un avocat en pleine ascension, ramène de l’hôpital, Annelie, un esprit libre. Alors que l’amant devient l’aide- soignant et que les grands rêves disparaissent, la famille survivra-t-elle ?

    Un récit intime sur la force de l’amour lors d’un bouleversement au sein de la famille Basson, qui doit faire face à la disparition d’un de ses enfants ainsi qu’au handicap de la mère tétraplégique. Avec comme toile de fond la transition d’un pays vers la démocratie ; les amoureux, les parents, les enfants, les personnes à charge et les auxiliaires de vie doivent continuellement se réinventer pour survivre et s’épanouir tout au long de leur vie.

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    NOTE D'INTENTION

    Inspiré de l'histoire de ma famille, j'explore les tensions d'une masculinité fragile dans l'ombre de la transformation d’une épouse devenue handicapée.

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    JOZUA MALHERBE - Make Stuff Machine (Afrique du Sud)

    PRODUCTION

    Make Stuff Machine a été créée pour raconter des histoires qui permettent au public de voir le monde qui l’entoure sous un jour nouveau. Grâce à la bienveillance, la ténacité et la passion, l’équipe de la société de production se crée une place en tant qu’entrepreneurs, artistes et réalisateurs.

    FICTION / DRAME / 110' / COULEUR / NUMERIQUE & ANALOGIQUE

    DEUXIEME LONG-METRAGE
    Produit par

    Jozua Malherbe - Make stuff machine (Afrique du Sud)

    Langue

    Afrikaans, zulu, anglais

    Lieu de tournage

    Afrique du Sud

    Budget estimé

    1 000 000 €

    Financements en place

    580 504 €

    Recherche de partenaires

    Vendeurs internationaux, financiers, coproducteurs (France, Allemagne et pays du Benelux)

    Statut actuel

    En développement, 4ème version du scénario. En recherche active de financement

    CONTACT

    REALISATEUR

    Matthys Boshoff / matthys@airfilms.co.za / +6585300671

    PRODUCTEUR

    Jozua Malherbe / jozua.malherbe@gmail.com / +27765825642 / https://makestuffmachine.com/

    COPRODUCTRICE

    Verona Meier / Ape&Bjørn (Norvège) /verona@apeogbjorn.no/ +47 968 177 22 / www.apeogbjorn.no

  • DAMIAN SAINZ EDWARDS

    REALISATEUR

    Cinéaste et artiste né à Cuba, Damian Sainz Edwards a réalisé plusieurs courts- métrages, sélectionnés et récompensés dans de prestigieux festivals à travers le monde. Ses films explorent la relation entre la race, le genre, la famille et la nation. Il a étudié à Cuba, au Canada et en Suisse et enseigne à l’EICTV. Son dernier court-métrage, The fugitives, esquisse les personnages de son premier long-métrage Fallen.

    SYNOPSIS

    Un vieil homme machiste revient dans sa ville natale à la mort de sa fille. Là-bas, il devra choisir entre faire partie d’une famille qu’il a longtemps abandonnée à cause de ses préjugés ou continuer à vivre sa vie solitaire.

    Le monde d’Orestes s’écroule lorsque sa fille, qu’il a abandonnée lorsqu’elle a révélé sa transexualité, est retrouvée morte. Il refuse de l’enterrer dans le caveau familial et tente de retourner à sa vie solitaire. Mais lorsqu’Orestes apprend que sa fille a eu un fils, il rêve de fonder à nouveau une famille. Luttant contre ses propres préjugés, Orestes fera la paix avec son petit-fils, le fantôme de sa fille et lui-même.

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    NOTE D'INTENTION

    Fallen est un voyage au plus profond des traumatismes générés par la masculinité hégémonique chez les hommes afro-cubains. Le film dépeint l'hégémonie masculine en crise, le macho cherchant à s’extraire du labyrinthe du machisme. Fallen est un film intime, tourné principalement en caméra à l’épaule, qui se déroule à Regla, une ville située de l'autre côté de la baie de La Havane. Un lieu plein de mysticisme, où les vivants et les morts coexistent. C'est aussi la ville natale de Yemayá, une figure importante de la religion afro-cubaine. Je veux créer un univers cinématographique à la fois fantasmagorique et réaliste, basé sur l'imagerie des mythes afro-cubains, où notre protagoniste perd son sens de la réalité et embrasse un autre type de vérité. Ces mythes vont au-delà des binarismes : nos divinités sont à la fois féminines et masculines, bonnes et mauvaises, rien et tout à la fois. Ce cadre symbolique crée une voie pour imaginer un paysage national où les corps et les désirs dissidents peuvent jouir de la beauté et de la liberté.

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    VIANA GONZÁLEZ, Autonauta films (Cuba-Mexique)

    PRODUCTION

    Autonauta Films a été fondée par la productrice Viana González. Initialement basée à Cuba, elle s’est depuis étendue au Mexique. Son objectif est de produire et coproduire des films authentiques et provocateurs ayant un potentiel international. Récemment, la société a produit Between dog and wolf (Irene Gutiérrez, 2020), présenté en première au Forum de la Berlinale, et le court-métrage The fugitives (Damian Sainz Edwards, 2021), présenté en première au festival Cinélatino Rencontres de Toulouse.

    FICTION / DRAME / 90' / COULEUR / NUMERIQUE

    PREMIER LONG-METRAGE
    Produit par

    Viana González, Autonauta films (Cuba, Mexique)

    Langue

    Espagnol

    Lieu de tournage

    La Havane (Cuba)

    Budget estimé

    650 000 €

    Financements en place

    20 000 €

    Recherche de partenaires

    Coproducteurs européens (France, Allemagne, Pays-Bas, Norvège)

    Statut actuel

    En développement, 4e version du scénario

    CONTACT

    REALISATEUR

    Damian Sainz Edwards / dami.sainz@gmail.com / +34 6 5874 4390

    PRODUCTRICE

    Viana González / viana@autonautafilms.com / +52 55 5173 8479 / www.autonautafilms.com

  • KIM TORRES

    REALISATRICE

    Scénariste et réalisatrice costaricienne née en 1993, Kim Torres a participé à Berlinale Talents Guadalajara et a réalisé les courts-métrages Suncatcher (2021) et The champion (2015). Elle est scénariste de deux séries Netflix ainsi que de plusieurs longs-métrages. Actuellement, elle travaille sur son premier long- métrage If we don’t burn, how do we light up the night qui a été soutenu par Ibermedia, sélectionné au MAFF (évènement de co-production du Festival de Malaga), où le projet a reçu un prix, et a participé au Torino Film Lab Next.

    SYNOPSIS

    Une adolescente exaltée teste les frontières entre la féminité, la sexualité et le monde secret qui l’entoure.

    Au milieu de la chaleur de l’été au Costa Rica, Laura, quatorze ans, doit déménager dans un village de montagne où se répand une rumeur selon laquelle une créature de la forêt aurait tué une femme. Alors que son amitié avec Daniela se développe en une relation particulière, dans un environnement qui sexualise leurs corps adoles- cents, elle trouve le courage de sauver son amie d’une relation abusive.

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    NOTE D'INTENTION

    Alors que je grandissais, au Costa Rica, j'ai commencé à ressentir une atmosphère hostile qui infiltrait tous les pores de mon corps qui se transformait. Cette prise de conscience du corps empêche de se voir soi-même, l'image semble toujours fragmentée : à travers un miroir, à travers le prisme de l'autre, à travers des secrets. Ce qui m’intéresse est d'explorer à quel point grandir peut-être douloureux, beau, excitant et dangereux. Cela s'entremêlera avec un conte populaire selon lequel une supposée créature a tué une femme dans la forêt. Bien que cela semble surréaliste, dans la culture latino-américaine il est courant d'avoir ces croyances pour éviter de parler de vérités difficiles à dire. Cette histoire traite de la culture violente et conservatrice du Costa Rica, un état encore très croyant et superstitieux. C'est un petit acte, qui n’en est pas moins un acte de rebellion, visant à se réapproprier nos corps.

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    ALEJANDRA VARGAS CARBALLO, Noche negra producciones (Costa Rica)

    PRODUCTION

    Noche Negra est une société de production émergente du Costa Rica. Notre objectif est de trouver de nouveaux talents et de créer des histoires uniques avec des propositions créatives captivantes. Nous travaillons sur des récits sincères et des personnages hors du commun. Mais surtout, nous soutenons les histoires de femmes et la voix des insoumis.

    FICTION / DRAME / 95' / COULEUR / NUMERIQUE

    PREMIER LONG-METRAGE
    Produit par

    Alejandra Vargas Carballo, Noche negra producciones (Costa Rica)

    Langue

    Espagnol

    Lieu de tournage

    Quepos (Costa Rica)

    Budget estimé

    710 000 €

    Financements en place

    82 000 €

    Recherche de partenaires

    Vendeurs internationaux, coproducteurs, distributeurs européens

    Statut actuel

    En développement et en recherche de financement, 5e version du scénario. Tournage en septembre 2022

    CONTACT

    REALISATRICE

    Kim Torres / kim.torres.ch@gmail.com / +52 55 4897 4313

    PRODUCTRICE

    Alejandra Vargas Carballo / ale@noche-negra.com / +506 88892727 / www.noche-negra.com

    COPRODUCTEURS

    Nicole Maynard /Cine Feral (Mexique)
    Lucile Ric et Charles Philippe / Les Films du Clan (France)

  • SUMAN SEN

    REALISATEUR

    Né et élevé à Kolkata, Suman Sen est un écrivain, réalisateur et producteur vivant à Mumbai, en Inde. Il a étudié le commerce, le design et la communication. Il est le cofondateur de Fickle Formula, un studio de contenu spécialisé dans la communication sociale. Il a récemment terminé son court-métrage The silent echo tourné au Népal. Son premier long-métrage, Eka, a participé au Film Bazaar 2019 et au Torino Next 2020.

    SYNOPSIS

    Eka nous plonge au cœur de la dégénérescence du tissu social indien contemporain, dans une Inde qui vogue vers un avenir fragile au gré de vaines aspirations. Le film reflète ce que j’endure dans mon pays depuis plusieurs années : des temps de haine, d’intolérance et de violence.

    Le Président est sur le point d’inaugurer une statue symbolisant L’homme de la Rue sur l’une des places centrales de Kolkata. Biplap, agent d’assurance diabétique chronique à la veille de la retraite, bouillonne de rage face aux échecs économiques, politiques et culturels de sa ville. Méprisé par sa famille et la société, il décide d’évacuer sa frustration en se postant, immobile, devant la colossale statue. Son acte de défiance personnelle se transforme en un mouvement mondial...

    En savoir plus

    NOTE D'INTENTION

    Le monde d’aujourd’hui est le fruit des erreurs du passé. Je vois le monde à travers les yeux de mon père.  La génération de nos pères a complètement échoué, dans tous les sens du terme. Notre niveau intellectuel s’est appauvri, nous nous sommes isolés les uns des autres et avons perdu tout engagement politique. C’est le résultat de leur désintérêt pour la société et la nation.

     

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    ARIFUR RAHMAN, Goopy Bagha productions (Bangladesh)

    PRODUCTION

    Goopy Bagha est géré par Arifur Rahman et Bijon. Depuis 2011, ils produisent des longs-métrages de fiction, des courts-métrages et des documentaires au Bangladesh, en Inde, au Népal, en Afghanistan, en Corée et au Japon. Ces films ont déjà été projetés à de nombreux festivals internationaux tels que Berlin, Venise, Rotterdam, Busan, Seattle, Singapour, Shanghai, Stockholm, Cinequest ou encore Sheffield.

    FICTION / DRAME / 90' / COULEUR / NUMERIQUE

    PREMIER LONG-METRAGE
    Produit par

    Arifur Rahman, Goopy Bagha productions (Bangladesh)

    Langue

    Bengali, Hindi

    Lieu de tournage

    Kolkata (Inde)

    Budget estimé

    787 268 €

    Financements en place

    300 000 €

    Recherche de partenaires

    Coproducteurs en Europe, États-Unis, Royaume-Uni, Asie du Sud-Est, vendeurs internationaux

    Statut actuel

    5ème version du scénario, repérage et financement

    CONTACT

    REALISATEUR

    Suman Sen / suman@fickleformula.com / +91 9433441937

    PRODUCTEUR

    Arifur Rahman / arifur.rahmann@gmail.com / +8801711235465

    COPRODUCTEURS

    Suman Sen - Fickle Formula (Inde) / suman@fickleformula.com /+91 943 344 1937
    Dominique Welinski - DW (France) / dwelinski@gmail.com / +33607788136

  • XEPH SUAREZ

    REALISATEUR

    Originaire de Mindanao, Xeph Suarez vit à Manille, aux Philippines. Il a réalisé plusieurs courts-métrages, dont Si Astri maka si Tambulah, qui a remporté le prix du meilleur réalisateur et reçu une mention spéciale du jury à Cinemalaya 2018. Le film a été projeté dans plusieurs festivals internationaux, notamment à PÖFF Shorts et Tampere.

    SYNOPSIS

    Une transsexuelle musulmane issue d’une communauté conservatrice « de nomades de la mer » est déchirée entre une vie heureuse avec son petit ami et le respect des coutumes de sa communauté, qui implique un mariage avec la femme à qui elle a été fiancée à la naissance.

    Astri, une transsexuelle musulmane, et son petit ami, Tambulah, vivent heureux dans leur communauté conservatrice Bajau (« les nomades de la mer »). Cependant, alors qu’Astri fête ses 16 ans, son père lui rappelle qu’en tant qu’«homme», elle doit honorer leurs traditions en épousant Sitti, la jeune fille qui lui est promise. Déchirés entre l’amour et les traditions, Astri et Tambulah se lient d’amitié avec Sitti afin de tenter d’empêcher le mariage.

    En savoir plus

    NOTE D'INTENTION

    En tant qu’homosexuel de Mindanao, raconter l'histoire de Dancing The Tides est très important pour moi. Je veux mettre en lumière le courage des homosexuels de ma ville natale, qui s'expriment et s'aiment malgré l’environnement dans lequel ils évoluent. En fin de compte, ce film parle de sacrifices, car je crois que notre amour se mesure à ce que nous sommes prêts à faire et à abandonner pour les personnes que nous aimons. Après avoir pris connaissance de la situation critique de tou(te)s les Astri, Tambulah et Sitti de ce monde, je me suis senti humble et inspiré. En braquant les projecteurs sur eux, ne serait-ce qu'un instant, et en portant cette histoire d'amour et de sacrifices sur grand écran, nous espérons pouvoir susciter un dialogue sur la religion, la tradition et le genre.

    En savoir plus

    ALEMBERG ANG, Daluyong Studios (Philippines)

    PRODUCTION

    Daluyong Studios (anciennement vy/ac Productions) a pour objectif de produire des films sensibles au traitement éthique des problèmes du tiers-monde et de donner une voix aux minorités culturelles dans le cinéma mondial. En travaillant avec de nouveaux et jeunes cinéastes, Daluyong Studios aborde divers sujets, tels que la violence faite aux femmes, les droits des LGBTQI+, la santé mentale et la justice sociale. Ces productions ont remporté de nombreux prix et ont été saluées par la critique. Ces dernières années, la société a participé avec succès à divers marchés, laboratoires et ateliers tels que : le Cinemart, l’Atelier de la Cinéfondation de Cannes, Cannes Docs, Berlinale Talents Project Market et Locarno Open Doors.

    FICTION / DRAME / 100' / COULEUR / NUMERIQUE

    PREMIER LONG-METRAGE
    Produit par

    Alemberg Ang, Daluyong Studios (Philippines)

    Langue

    Sama Bajau

    Lieu de tournage

    Zamboanga (Philippines)

    Budget estimé

    560 000 €

    Financements en place

    28 170 €

    Recherche de partenaires

    France, Allemagne, Pays-Bas, Italie, Norvège, Suède, Luxembourg

    Statut actuel

    En fin de développement, 5e version du scénario

    CONTACT

    REALISATEUR

    Xeph Suarez / xephsuarez@gmail.com /+639053322279

    PRODUCTEUR

    Alemberg Ang - Daluyong Studios / alem@daluyong.ph / +6387250217 / https://daluyong.ph/

  • AMÉDÉE PACÔME NKOULOU

    REALISATEUR

    Son premier court-métrage de fiction Moane Mory (2014) a été projeté dans de nombreux festivals à travers le monde, notamment en sélection officielle au FESPACO. Boxing Libreville, son premier film documentaire de création, présenté en première mondiale à Visions du Réel (2018), remporte le prix du meilleur film au festival du film africain de Tarifa et le prix du jury au FIDADOC au Maroc. Il travaille à la post-production de son deuxième court-métrage La cour du roi et développe le scénario de son premier long-métrage Les fresques des oubliés, lauréat du Prix Idrissa Ouedraogo du Ouagafilmlab (résidence d’écriture au Moulin d’Andé).

    SYNOPSIS

    Situé dans un pays africain fictif, Les fresques des oubliés raconte l’histoire d’un jeune artiste de rue qui tente de se reconstruire après avoir enduré une peine de deux ans de prison.

    Brisé et avec une main fracturée, Kinga parvient à trouver du réconfort auprès de Makoto, un vieil artiste qui peint inlassablement sur les murs de la ville tous les jours alors que les agents du régime effacent son travail toutes les nuits. Un jour, Makoto lui raconte l’histoire des mystérieuses fresques inachevées des oubliés, un vieux conte urbain affirmant que celui qui les terminera libérera le pays. Alors que Kinga se ressaisit, se reconnecte au monde, il devient obsédé par la recherche de ces fresques pour les terminer.

    En savoir plus

    NOTE D'INTENTION

    Le film parle d'espoir et de la nécessité de briser les chaines de la peur. Les peintures de Makoto sur les murs de la ville et le dessin de Kinga vont apporter beauté et poésie à une réalité effroyable. Il montrera le réconfort et le courage que l'art peut procurer. L'idée de la fresque et sa capacité à changer le destin du pays aborde le thème de la politique et de notre lien avec elle, que l'on croie ou non en son pouvoir d'influence. Mais ce dont parle vraiment ce film, c'est de ce qui se passe lorsque l'on réalise que la peur n'est qu'un état d'esprit et que l'on doit s'en libérer.

    En savoir plus

    SAMANTHA BIFFOT, Princesse M Production (Gabon)

    PRODUCTION

    Princesse M Productions a été fondé en 2010 par Samantha Biffot et Pierre-Adrien Ceccaldi au Gabon. En 2012, leur série L’œil de la cité, a remporté le prix de la meilleure série au FESPACO. La société a produit de nombreux documentaires dont L’africain qui voulait voler, nommé aux trophées francophones 2015 et Africa movie awards 2016, et le très remarqué Boxing Libreville d’Amédée Pacôme Nkoulou qui a été présenté en avant-première à Visions du réel, a reçu le prix du meilleur documentaire à Tarifa et à Agadir et a été diffusé sur Arte et TV5MONDE. Princesse M travaille sur la post-production d’une série pour Canal + Afrique (sortie prévue en septembre 2021).

    FICTION / DRAME / 90' / COULEUR / NUMERIQUE

    PREMIER LONG-METRAGE
    Produit par

    Samantha Biffot, Princesse M Production (Gabon)

    Langue

    Français

    Lieu de tournage

    Gabon, Côte d’Ivoire

    Budget estimé

    1 150 000 €

    Financements en place

    10 000 €

    Recherche de partenaires

    Vendeurs internationaux et coproducteurs européens (Norvège et Allemagne)

    Statut actuel

    En développement, 3e version du scénario

    CONTACT

    REALISATEUR

    Amédée Pacôme Nkoulou / apnkoulou@gmail.com / +241 04 03 82 56

    PRODUCTRICE

    Samantha Biffot - Princesse M production / samantha.biffot@yahoo.fr / +241 07 77 14 27

    COPRODUCTEURS

    Eugénie Michel Villette - Les films du Bilboquet (France) / eugeniemichelvillette@lesfilmsdubilboquet.fr / +33 6 60 54 90 68/ www.lesfilmsdubilboquet.fr
    Germen Boelens - Revolver Films (Pays-Bas) / germen@revolver.nl / +31 6 526 968 08/ / www.revolver.nl

  • SAHRA MANI

    REALISATRICE

    Sahra Mani est une réalisatrice multiprimée. Son premier long-métrage documentaire, A thousand girls like me (2019), a été projeté dans de nombreux festivals de cinéma tels que HotDocs, Sheffield, IDFA et a remporté plus de 25 prix dans le monde entier, notamment : trois prix GOLD au New York Festivals TV & Film, le World Media Award 2019 ou encore des prix au Full Frame Film Festival, au San Francisco Film Festival... Ses travaux en tant que productrice et réalisatrice portent sur les droits de l’Homme, l’égalité et la justice. Elle a, par ailleurs, organisé plusieurs festivals de cinéma, ainsi que des formations et du mentorat en Afghanistan.

    SYNOPSIS

    Madina et Negin, deux adolescentes, étudient la musique dans la seule école de musique de Kaboul. Elles se frayent un chemin entre les critiques de leurs familles et les menaces des talibans. À l’approche d’une nouvelle tournée européenne, les deux filles disparaissent soudainement. Un jour, je reçois un appel téléphonique ; Madina veut partager son histoire.

    Depuis quarante ans, Kaboul est plongée dans la violence. Pourtant, des notes de poésie et de mélodies s’échappent d’une école de musique dans la capitale ravagée par la guerre. Derrière les barbelés, nous rencontrons Madina, joueuse de hautbois et Negin, première femme chef d’orchestre du pays. En Afghanistan, les filles n’ont pas le droit de pratiquer la musique publiquement. Elles bravent les menaces- qu’elles viennent des talibans ou de leurs propres familles - pour offrir leurs mélodies à la ville. Après cinq ans d’un parcours entre musique, harmonie et violence, en juillet 2019, les deux filles sont portées disparues lors d’une tournée européenne. Cet épisode nous a fait repenser toute l’histoire.

    En savoir plus

    NOTE D'INTENTION

    Être cinéaste en Afghanistan, c'est être une activiste. Malgré tout, avec Mélodie de Kaboul et en dépeignant le combat de jeunes musiciennes, je veux montrer l'espoir et l'émergence du libre arbitre chez les femmes qui créeront l'avenir de l'Afghanistan. Derrière leur histoire, il y a aussi la mienne : je sais ce que signifie être une citoyenne, une femme et une artiste dans ma société.

    En savoir plus

    SAHRA MANI, Afghanistan Doc House (Afghanistan)

    PRODUCTION

    Afghanistan Doc House est une société de films documentaires basée à Kaboul, en Afghanistan. Elle a été fondée en 2009, par Sahra Mani, professeure de cinéma à l’université de Kaboul et produit des documentaires depuis 10 ans, notamment pour le British Council, le PNUD, Save Children et le World Forum Food. La société a développé une ligne éditoriale orientée vers des films sur l’art et la culture du Moyen-Orient, ainsi que l’organisation de festivals de films sur les droits de l’Homme et l’organisation de mentorat et d’ateliers dans tout le pays.

    DOCUMENTAIRE / DRAME / 70' / COULEUR / NUMERIQUE

    DEUXIEME LONG-METRAGE
    Produit par

    Sahra Mani, Afghanistan Doc House (Afghanistan)

    Langue

    Farsi

    Lieu de tournage

    Afghanistan, France

    Budget estimé

    312 459 €

    Financements en place

    68 958 €

    Recherche de partenaires

    Fonds internationaux, coproducteurs, chaînes de TV, vendeurs internationaux

    Statut actuel

    En production

    CONTACT

    REALISATRICE et PRODUCTRICE

    Sahra Mani / sahramanifilms@gmail.com / +33767814392 / www.afghanistandochouse.com

  • CECILIA KANG

    REALISATRICE

    Cecilia Kang a étudié la réalisation à l’E.N.E.R.C.. Elle a réalisé plusieurs courts-métrages qui ont participé à de nombreux festivals internationaux, tels que Videojuegos, Berlinale 2015, compétition officielle « Génération » et Mi último fracaso, son premier film documentaire (Première BAFICI 2016, en compétition).

    SYNOPSIS

    Le film dessine une cartographie émotionnelle basée sur le parcours migratoire d’une famille, de la Corée du Sud d’après-guerre, vers l’Argentine. Ses membres brisent les traditions en s’opposant à ce que l’on attend d’eux. Ils tracent des chemins inexplorés au prix d’actes de liberté douloureux.

    Elder son est l’histoire d’une famille coréenne qui s’installe en Argentine parce que le téméraire Antonio est allé au bout de son rêve d’immigration. Après huit longues années d’attente, sa femme décide de laisser derrière elle tout ce qu’elle aime, pour partir à sa recherche. Leur fille adulescente doit se débrouiller avec son identité déracinée dans un pays de liberté, mais auquel elle ne peut jamais choisir d’appartenir complètement.

    En savoir plus

    NOTE D'INTENTION

    Il y a quelques années, j'ai filmé et interviewé mon père dans sa cuisine, pour qu’il me raconte son histoire depuis le début. Nous avons regardé des vieilles photos, identifié des lieux et des dates, pour tenter de dissiper le brouillard dans lequel se drape nos souvenirs. Ce qui m'a frappé, c'est que je connaissais déjà tout ce qu'il me racontait. C'étaient les mêmes histoires que j'avais entendues toute ma vie, répétées encore et encore. Un mélange entre la fiction et la réalité – inspiré de comment on s’imagine cet espace et ces moments concrets, ou de ce dont on décide de se souvenir. Elder son est né de ces souvenirs. Partiels et hors du temps, délimités par le parcours romanesque d'un homme qui a décidé de ne pas choisir la voie qui lui était imposée pour en chercher une autre et comment le chemin qu'il a emprunté est inéluctablement le début du mien.

    En savoir plus

    JUAN PABLO MILLER, Tarea Fina (Argentine)

    PRODUCTION

    Films produits par Tarea Fina :
    - The sleepwalkers – Paula Hernández • Première mondiale, Toronto IFF, section Platform 2019
    - The good intentions – Ana García Blaya • Première mondiale, Toronto IFF 2019 / Young jury award, New Directors, San Sebastián IFF 2019
    - Incident light – Ariel Rotter Première mondiale, Toronto IFF, 2015
    - Natural sciences – Matías Luchessi / Meilleur film, Generation Kplus, Berlin IFF, 2014 Guadalajara Film Festival 2014
    - Las acacias – Pablo Giorgelli / Caméra d’Or, Festival de Cannes, 2011

    FICTION / DRAME / 90' / COULEUR / NUMERIQUE

    PREMIER LONG-METRAGE
    Produit par

    Juan Pablo Miller, Tarea Fina (Argentine)

    Langue

    Espagnol, coréen

    Lieu de tournage

    Argentine – Paraguay – Corée du Sud

    Budget estimé

    800 000 €

    Financements en place

    60 000 € + 200 000 € (INCAA en cours)

    Recherche de partenaires

    Coproducteurs et financiers (France, Corée du Sud, Allemagne)

    Statut actuel

    En développement et recherche de financements, 7e version du scénario

    CONTACT

    REALISATRICE

    Cecilia Kang / misbelovedones@gmail.com / +5491163739860

    PRODUCTEUR

    Juan Pablo Miller / jpmiller@tareafina.com / +54 911 3891 3036 / www.tareafina.com

    COPRODUCTEUR

    Gabriela Sabate  - Sabate Films (Paraguay) / gabriela@sabatefilms.com /+595 986 852590 / sabatefilms.com

  • CLARE WEISKOPF & NICOLAS VAN HEMELRYCK

    REALISATEURS

    Cinéaste et journaliste, CLARE WEISKOPF a passé plus de quinze ans à travailler sur diverses questions sociales, allant du conflit armé en Colombie et de la violence sexuelle comme arme de guerre à la diffusion de la musique cumbia en Amérique latine et en Europe. Elle a été deux fois lauréate du prix national du journalisme colombien. Elle a été sélectionnée pour l’IDFAcademy, Dok.Incubator, Good Pitch et Campus Latino, et ses projets ont été soutenus par Ibermedia, Sundance, Catapult, le fonds Bertha de l’IDFA, Tribeca et le fonds cinématographique colombien (Proimagenes).
     
    Cinéaste, architecte, photographe et cofondateur de Casatarantula et DOC:CO. Les films de NICOLAS VAN HEMELRYCK ont concouru à l’IDFA, au Cinéma du Réel, Dok Leipzig, Sheffield, Doc NYC et ont été primés à Turin, Bogoshorts et Docudays UA ; ils ont été soutenus par Sundance, Catapult, Ibermedia, IDFA Bertha Fund, Proimagenes, Tribeca et RTVC. Nicolas a été sélectionné à DokIncubator, EAVE, IDFAcademy, Good Pitch, IFP et Latin Campus.

    SYNOPSIS

    Des adolescentes qui ont vécu dans les rues de Bogota rêvent d’une camarade de classe fictive. Ce récit émouvant révèle leur persévérance pour briser le cycle de la violence et embrasser l’avenir. Comment construire une vie nouvelle lorsqu’on naît sans opportunités ? Peut-on s’affranchir du désespoir et se projeter vers un autre destin ?

    Huit adolescentes qui ont vécu dans les rues impitoyables de Bogota ferment les yeux et rêvent d’Alis, une camarade de classe fictive. A mesure que la réalité reprend le pas sur la fiction, le jeu innocent se transforme en descente aux enfers. Leurs récits émouvants révèlent une persévérance étonnante pour imaginer une vie différente, briser le cycle de la violence et embrasser l’avenir.

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    NOTE D'INTENTION

    Il est aisé de trouver des exemples montrant comment, à travers les discriminations, la graine de la violence est semée dès la naissance et transmise de génération en génération. Bien que nous n'ayons pas la solution, nous voulons formuler une proposition pour défier ces préjugés. Nous avons choisi de poser notre caméra dans un pensionnat public de filles car il s'agit d'un échantillon représentatif de cette situation. Nous avons trouvé le dispositif idéal pour explorer ces réflexions à travers un jeu où nous les invitons à imaginer une histoire. Nous avons découvert que l'imagination en dit plus sur nous-même que notre vécu. Cela nous a permis de comprendre que le rôle qu’elles se donnaient dans ce jeu performatif met en lumière des vérités plus profondes qui, sans cela, resteraient enfouies. Au cours de ces années, nous avons constaté que, malgré ce qu'elles ont subi, elles ont un potentiel énorme si on les laisse embrasser leurs propres destins. C'est un film sur des jeunes filles à qui on ne demande pas ce qu'elles veulent devenir, parce qu'on suppose que leurs origines les condamnent par avance. En s'écoutant raconter l'histoire d'Alis, un processus intime s’opère et entrouvre la porte vers une transformation.

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    CLARE WEISKOPF & NICOLAS VAN HEMELRYCK, Casatarantula (Colombie)

    PRODUCTION

    Casatarantula est une société de production colombienne engagée dans la création de films qui questionnent notre façon de comprendre la vie et la réalité.

    DOCUMENTAIRE / DRAME / 75' / COULEUR / NUMERIQUE

    DEUXIEME LONG-METRAGE
    Produit par

    Clare Weiskopf, Nicolas van Hemelryck, Casatarantula (Colombie)

    Langue

    Espagnol

    Lieu de tournage

    Bogota (Colombie)

    Budget estimé

    335 000 €

    Financements en place

    179 000 €

    Recherche de partenaires

    Fonds, vendeurs internationaux, distributeurs, coproducteurs en Amérique du Nord (États-Unis, Canada)

    Statut actuel

    En production

    CONTACT

    REALISATEURS & PRODUCTEURS

    Clare Weiskopf /  cfeale@gmail.com / +57 3214904588
    Nicolas van Hemelryck / nicolasfelipe@gmail.com / +57 3132331717

    COPRODUCTEURS

    Radu Stancu - deFilm (Roumanie) / radu@defilm.ro / +40 740 226 054
    Alexandra Galvis - Pantalla Cines (Chili) / alexandra@bfdistribution.cl / +56 9 7887 4321
    Lise Lense-Moller -  Magic Hour Films (Danemark) / llm@magichourfilms.dk

  • MAROUAN OMARA & TOM ROSENBERG

    REALISATEURS

    MAROUAN OMARA est un cinéaste basé au Caire. Ses films se situent sur un territoire non balisé entre fiction et documentaire. Son dernier long- métrage Dreamaway a été nommé meilleur long-métrage égyptien en 2019, par l’Association des critiques égyptiens.
    TOM ROSENBERG est un cinéaste basé à Berlin. Il réalise des films sur des personnes qui tentent de gérer les angoisses découlant de traumatismes et de violences extrêmes. Son travail a remporté des prix et a été sélectionné dans de nombreux festivals internationaux. Tom est également détective privé agréé.

    SYNOPSIS

    The missing planet est un voyage à travers les paysages surréalistes et les souvenirs fragmentés d’un autre monde qui reflète le nôtre.

     

    Dans un monde lointain, parsemé des vestiges d’une ville autrefois immense, un enquêteur anonyme cherche des informations sur une personne disparue, nommée Nour. Alors que l’enquêteur est sur le point d’abandonner ses recherches, il rencontre une apparition onirique de Nour qui lui décrit sa disparition.

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    NOTE D'INTENTION

    Nous nous sommes rencontrés pour la première fois début 2018 lors d'un programme de résidence en Allemagne. Notre amitié s'est développée à partir de conversations sur les films, la réalisation de films et la vie aux États-Unis et en Égypte. Marouan venait de présenter en avant-première son long-métrage Dreamaway et cherchait de nouveaux projets à lancer. Après avoir pris connaissance de l'ensemble du travail de Tom, Marouan a suggéré une collaboration qui pourrait s'appuyer sur les antécédents des deux cinéastes pour examiner les thèmes de la perte et de la mémoire.

    The missing planet tente de raconter des histoires qui ne peuvent pas être racontées, de visiter des endroits cachés, de retrouver les souvenirs de personnes qui n'existent pas. Cette contradiction est au cœur de notre collaboration. Pour relever ces défis, nous nous inspirons de nos travaux antérieurs - par exemple, l'utilisation de personnages composites, de reconstitutions et de performances. Mais dans ce projet, nous voulons faire plus que répéter les approches que nous avons déjà essayées, et trouver une voix qui soit plus que la somme de ses ensembles, pour faire un film qu'aucun de nous ne serait capable de faire seul.

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    MARK LOTFY - Fig Leaf Studios (Egypte)

    PRODUCTION

    Mark est un producteur/réalisateur d’Alexandrie. Il a créé Fig Leaf Studios en 2005 et a depuis produit des films primés et sélectionnés dans des festivals renommés tels que Cannes, Berlinale, Karlovy Vary, San Sebastian, BFI.

    DOCUMENTAIRE / SCIENCE-FICTION / 90' / COULEUR / NUMERIQUE

    DEUXIEME LONG-METRAGE
    Produit par

    Mark Lotfy, Fig Leaf Studios (Egypte) et Michael Henrichs, Die Gesellschaft DGS (Allemagne)

    Langue

    Arabe

    Lieu de tournage

    Égypte, partout et nulle part

    Budget estimé

    280 000 €

    Financements en place

    35 000 €

    Recherche de partenaires

    Coproducteurs européens (France)

    Statut actuel

    En développement

Partenaires officiels

Et la contribution de